Critique du christianisme
      évangélique
    Les critiques qui suivent visent particulièrement le
    christianisme
    évangélique plutôt que le catholicisme. La
    raison
    en est d'abord que c'est le christianisme évangelique que je
    connais le mieux, pour en avoir fait partie.
    Ils m'avaient intéressé du fait qu'ils mettent
    précisément l'accent sur la doctrine, or
    j'étais
    à la recherche de
    vérités précises.
    Les catholiques, eux, n'ont d'une part
    que des pratiques qui oublient presque la doctrine sous-jacente,
    et qui sont donc moins "réfutables" au sens strict, d'autre
    part, pour ceux qui s'y intéressent (à condition
    d'aller
    la chercher, chose curieuse je ne l'avais mystérieusement pas
    vue passer dans ma jeunesse où j'avais pourtant
    été au cathéchisme), une doctrine complexe et
    plus
    difficilement critiquable, car plus modérée et
    intelligente. N'étant désormais plus chrétien,
    je
    trouve
    finalement le catholicisme préférable dans la mesure
    où
    justement, comme il insiste moins sur sa doctrine il laisse aussi
    une
    meilleure liberté de pensée, une meilleure ouverture,
    et
    donne donc accès à une certaine vie
    spirituelle
    rudimentaire mais libre, simple et épurée. Notamment,
    reconnaissant que la foi en Jésus n'est pas nécessaire
    au
    salut, d'après certains comptes-rendus de la doctrine
    Thomiste... quoique, cela dépend: tout en prétendant
    à l'unité de l'Eglise les catholiques ont diverses
    manières plus ou moins sectaires ou fondamentalistes de
    penser,
    de  vivre leur foi et de l'interpréter, alors, comment
    voulez-vous discuter d'une doctrine aussi variable et insaisissable
    ?
    Cependant, le peu que je sais du catholicisme me suffit pour
    conclure
    qu'il ne me convaincra pas non plus, pour des raisons que je
    détaillerai éventuellement une autre fois. Cependant,
    plutot que de longues
    demonstrations, un
      petit
      témoignage pourrait-il suffire ? J'ai aussi démarré
une
      discussion, en suspens pour le moment.
    J'ai donc été chrétien
      évangélique
      pendant des années, mais, j'étais alors
      écrasé sous l'absurdité de la vie que je
      tentais
      désespérément de nier. Je ne réalisais
      pas
      que c'était entre autres à cause de cette doctrine,
      qui
      me semblait
      assez solide en principe, mais qui ne s'accordait pas avec mon
      expérience (ma déprime à laquelle le
      christianisme
      n'apportait pas de vraie réponse mais prétendait
      seulement y répondre en rejetant sur moi la faute de son
      échec) et certaines questions. Mais lorsque tout devint
      intenable et qu'enfin je pris
      acte du fait qu'il était vain de prétendre encore
      s'y
      accrocher, je me suis permis de réfléchir librement
      et
      remettre mes pensées en ordre, croyant toujours en Dieu
      mais
      quittant enfin la contrainte, désormais vue comme
      arbitraire,
      des hypothèses bibliques. Alors les absurdités se
      sont
      estompées au niveau conceptuel, même si elles sont
      demeurées aussi criantes au niveau factuel, et
      les choses se sont éclaircies. C'est-à-dire que j'ai
      renoncé à voir une finalité à tout,
      pour
      reconnaître enfin honnêtement et lucidement la
      réalité des défauts de la vie. Alors, en
      m'appliquant ainsi à remettre mes pensées en ordre,
      par
      souci de recherche de la vérité et d'une
      compréhension cohérente des choses, se
      multiplièrent mes constatations des erreurs,
      perversités
      et absurdités de cette doctrine, au point que j'en arrive
      à me secouer la tête: mais comment donc ai-je pu un
      jour supporter d'avaler des absurdités pareilles ?
      
      Quel est le problème ? Voyons les choses calmement:
      
      Le christianisme, c'est d'abord l'affirmation que nous avons
      été créés par Dieu, qui sait tout,
      nous
      aime et veut notre bien. Jusque-là, c'est clair, pas de
      problème. Puis, qu'il veut se révéler
      à
      nous et nous guider dans notre vie, pour notre bien à tous.
      C'est bien gentil. Conceptuellement c'est très plausible,
      on ne
      saisit pas bien les raisons qui l'en empêchent, et il serait
      tellement bon
      que ce soit vrai ! D'ailleurs, je reconnais toujours qu'il y a
      beaucoup
      de vrai là-dedans: Dieu sait mieux que nous ce dont nous
      avons
      besoin, et il souhaite que le bien s'accomplisse. Mais alors,
      vient la
      question de savoir pourquoi cette connaissance et cette
      volonté
      ne se manifestent pas dans notre monde. Je dirais même,
      cette
      absence constitue une situation manifestement incongrue dans la
      perspective
      de ce qui devrait être, suivant la nature
      métaphysique de
      toutes choses; et il est naturel de penser qu'il s'agit d'une
      exception
      par rapport à la création universelle, je veux dire
      celle
      des univers spirituels, au-delà de notre univers et de
      notre
      mode d'incarnation particuliers; d'ailleurs, les NDE semblent
      confirmer
      cela en montrant dès après la mort une
      possibilité
      de
      connaissance quasi infinie et un Dieu beaucoup plus proche
      à
      notre âme que ce qui apparaît dans notre vie
      terrestre.
      
      Alors, pourquoi cette obscurité, ce bloquage par rapport
      à la connaissance et la volonté de Dieu, auxquelles
      nous
      sommes confrontés ?
      Le christianisme répond: l'homme est ignorant et ne fait
      pas la
      volonté de Dieu parce qu'il est sourd et rebelle à
      Dieu.
      C'est une réponse a priori plausible, et qui a priori
      mériterait examen. Reformulons-la: après avoir admis
      que
      la volonté de Dieu existe, et qu'en elle-même elle
      s'intéresse
      à nos décisions (ce qui est difficilement
      évitable
      d'un point de vue métaphysique),
s'ajoute
      ici l'hypothèse que cette sa connaissance et sa
      volonté s'expriment et se présentent en quelque
      sorte
      directement en face de nos décisions, et que c'est notre
      volonté qui s'y oppose en leur faisant la sourde oreille.
      Ensuite, le christianisme appelle à se repentir de cette
      rébellion, et à se résoudre à faire
      désormais la volonté de Dieu. Là encore, a
      priori,
      un tel appel serait éminemment respectable: s'il y avait un
      moyen disponible d'arriver à connaître et suivre la
      volonté de Dieu, si Dieu voulait que nous
      l'écoutions et
      suivions sa volonté et que cela soit indispensable à
      la
      réalisation d'objectifs importants, alors refuser de le
      faire
      serait une chose terrible et catastrophique, condamnable au plus
      haut
      point. Loin de moi toute démarche de m'écarter ainsi
      suivant mes caprices, de la mission que Dieu m'adresserait, si
      jamais
      tel était le cas !
      
      Oui mais il y a un problème: on a beau faire la
      résolution de se mettre à l'écoute de Dieu,
      cela
      ne suffit pas à recevoir de Dieu une
      inspiration directe, claire et suffisante, pour savoir s'il nous
      appelle, à quoi il nous appelle, et comment
      l'écouter.
      Enfin, cela suffit-il ? D'expérience nous voyons que non.
      D'ailleurs, les chrétiens sont aussi en partie de cet avis,
      puisqu'ils trouvent besoin de nous proposer un livre en nous
      disant:
      voici la Parole de Dieu, écrite dans des circonstances
      exceptionnelles où Dieu avait mieux réussi à
      s'exprimer, et s'en sert comme substitut à une
      communication plus fluide avec nous, pour nous dire une fois pour
      toutes ce qu'il avait à nous dire, croyez-la et
      appliquez-la,
      c'est là que vous saurez tout ce que vous avez besoin de
      savoir
      et ce que vous avez à faire pour respecter la
      volonté de
      Dieu. Et même, en faisant ainsi, vous arriverez à
      communier avec Dieu, à être remplis de son Esprit,
      être guidés par Lui. Ceci visant à combler le
      vide
      de notre ignorance par rapport
      à Dieu et de notre difficulté à le voir et
      à l'entendre. 
      
      Cela satisfait-il notre aspiration
      métaphysique, et résoud-il notre malaise devant
      notre
      ignorance et notre éloignement de Dieu ? Pas vraiment, pour
      plusieurs raisons:
    
    
      -  Cela ne change rien au fait que la possibilité
        pour
        qui le
        veut d'entendre Dieu et de le suivre n'a rien d'universel,
        puisque ce
        livre n'a pas toujours existé. Il n'y a donc pas de
        nécessité métaphysique intrinsèque
        ni de
        besoin absolu à ce que la volonté de Dieu se
        révèle. En effet, si Dieu ne supportait pas
        l'absence de
        cette révélation, comment aurait-il
        supporté la si
        longue période précédant l'apparition de ce
        livre ?
 
      - Les chrétiens ont beau se dire guidés par
        l'Esprit
        Saint, ils ne le sont manifestement pas assez directement pour
        pouvoir
        se passer de ce livre. 
       
      - Un livre n'est qu'un livre, ses capacités d'information
        sont
        limitées, surtout par rapport à l'infinie
        diversité de la vie et des circonstances auxquelles nous
        devons
        faire face. Alors, l'Esprit-Saint suffit-il à en combler
        l'insuffisance ?
       
    
    Manifestement, la question nécessite à priori une
    étude approfondie, d'une part pour ne pas rater une mission
    que
    Dieu voudrait nous confier, d'autre part pour vérifier si
    cela
    est ou non le cas. 
    
    Je crus d'abord que c'était vrai, je voulus y croire, afin de
    m'attacher à suivre la volonté de Dieu le mieux
    possible... jusqu'à finalement être terrassé par
    l'évidence de la réalité, à savoir que
    tout
    cela était faux. Cette constatation par contre, je ne l'ai
    pas
    choisie, elle s'est imposée à moi et à force de
    réflexion, cela s'avère d'une clarté lumineuse.
    Non d'une lumière "de Dieu" bien sûr, mais d'une
    expérience désormais évidente et
    incontournable.
    Amenant aussi avec elle la réalisation du fait presque
    oublié que, pour être suivie fidèlement et
    honnêtement, la vérité ne se choisit pas, elle
    se
    découvre, à la différence des appels à
    l'acte de foi du christianisme en "faveur" de son Dieu.
    
    Mais direz-vous, comment prétendre cela, alors que ça
    fait 20 siècles que le christianisme existe et que tout le
    monde
    n'est pas encore d'accord pour dire s'il est vrai ou faux ? Certains
    y
    adhèrent, d'autres non, donc chacun n'est-il pas libre de
    choisir son camp ? De fait, si les uns avaient vraiment de bonnes
    raisons de croire ce qu'ils croient, il serait étrange que
    les
    autres ne les aient pas reconnues. Alors, que s'est-il passé
    ?
    Tous les arguments des uns et des autres sont-ils si faibles que
    cela
    pour ne pas pouvoir s'imposer ? 
    Les chrétiens, allant dans ce sens, pensent avoir des
    raisons,
    mais qu'elles ne s'imposent pas à tous car "Dieu nous laisse
    libre". Certes, à un tel niveau d'abstraction et de
    superficialité, ne sachant rien d'autre sur le fond du
    dossier,
    une telle approche du désaccord parait presque plausible.
    
    Mais je ne suis plus là: j'ai trouvé diverses raisons
    de
    conclure que la Bible est fausse, raisons que je vois comme solides
    et
    claires, et que tout un chacun devrait reconnaître... à
    condition de faire un petit effort de réflexion approfondie
    tout
    de même. Mais comment donc est-ce soutenable ? Ces raisons
    sont-elles bien valables ? Personne n'y avait-il pensé
    auparavant ? Si on y avait pensé, les chrétiens les
    avaient-ils examinés, et sont-ils de tels abrutis pour ne pas
    les avoir reconnues ? Ou ont-ils des raisons contraires pour croire
    tout aussi valables ?
    
    Mystère bien étrange, direz-vous. Pour moi aussi
    à
    l'époque de ma déconversion. Alors
    quoi ? Déjà a priori, de ce que je connaissais des
    positions chrétiennes, il m'apparaissait que si les
    chrétiens avaient des raisons valables de tenir leur position
    face aux critiques que je
    venais de découvrir, ils le cachent bien, ratant le fond des
    problèmes dans tous leurs propos ! Ensuite, pour
    trancher la question avec certitude, yaka essayer de
    présenter
    ces raisons aux chrétiens, pour voir comment ils
    répondent. C'est ce que j'ai fait. Pourquoi, au fait, se
    demander comment ils répondront au point de se réduire
    à en faire l'expérience, alors que j'ai
    été
    des leurs, que je les connaissais bien et que donc je devrais savoir
    comment ils pensent et réagissent, sauf que, moi comme eux
    n'avions jamais été confrontés à ces
    véritables problèmes ? De façon
    étonnante en quelque sorte, le bilan de cette
    expérience
    m'a
    pas mal surpris. Les chrétiens se sont ainsi dans l'ensemble
    révélés sous un jour très
    différent
    de ce que je croyais en connaître lorsque j'étais des
    leurs, et qui par contre me confirmait de façon encore bien
    plus
    claire et accentuée les subtiles analyses critiques que je
    venais de m'évertuer à mettre au jour.
    
    Et voici cette observation, subtile, étrange, sans doute
    d'apparence absurde et incroyable pour les premiers
    intéressés, mais faisant désormais pour moi
    partie
    des évidences qui s'imposent comme toute évidence par
    la
    forte cohérence de leur conception et la multiplicité
    de
    leurs vérifications directes ou quasi-directes qui ne
    laissent
    place à aucune alternative sérieusement envisageable:
    c'est qu'au-delà de quelques vérités
    métaphysiques facilement confirmées par l'intuition de
    notre esprit (pour lesquels on n'aurait donc nul besoin de
    révélation par un livre !) mais ici soigneusement
    exploitées et détournées, la doctrine biblique
    n'est essentiellement qu'une vaste et malicieuse stratégie
    bien
    humainement
    explicable, d'aveuglement et de malhonnêteté
    intellectuelle, déguisée sous les noms de
    révélation divine, d'enseignement spirituel et de vie
    avec Dieu, et ayant pour objectif d'amener et préserver
    l'adhésion à cette même doctrine sans raison
    valable. (La notion d'objectif se référant ici
    essentiellement bien moins à quelque volonté
    consciente
    qu'à l'effet d'une certaine sélection darwinienne des
    doctrines humaines.)
    
    En effet, à mes découvertes et observations
    sérieuses et subtiles que
    j'essayais de discuter, les
    quelques chrétiens que j'ai sollicité, des gens comme
    ceux mêmes que je  voyais auparavant comme mes
    frères en Christ irréprochablement
    dévoués
    à cheminer comme
    moi et avec moi vers la vérité et la lumière de
    Dieu, et que les Vrais Chrétiens considèrent comme des
    Vrais Chrétiens, n'avaient le plus
    souvent rien à répondre, que leur bêtise, leur
    mépris et leurs accusations insensées contre moi, et
    ils
    restaient
    sur leurs positions sans prendre la peine d'effleurer le fond du
    problème. Voir ici
    (suite de là) un
    exemple particulièrement criant pour ne pas dire grotesque.
    Certes il
    peut y avoir des exceptions, mais les
    quelques chrétiens relativement sensés et
    honnêtes
    faisant généralement confiance à ceux qui le
    sont
    moins pour se dispenser de réfléchir par
    eux-mêmes
    et de se rendre compte du
    problème, propagent l'erreur.
    
    Voici donc, dans les autres textes ci-dessous, des analyses
    critiques et réfutations des différents fondements de
    la
    foi. Autrement dit, un passage en revue des
    motivations par lesquelles les chrétiens
    évangéliques croient ce qu'ils croient, ce qu'ils
    considèrent comme le fondement de la vérité,
    d'après ce que j'ai pu ressentir pour moi-même ou
    observer
    chez les autres, et les arguments qu'ils présentent à
    l'appui de leurs convictions; et pourquoi tout cela ne tient pas la
    route.
    
    Ainsi je n'"attaque" pas "dur", je ne me
    suis pas révolté contre Dieu, je ne suis pas
    zélé à prouver ce que j'aurais envie qui soit
    vrai.
    J'ai simplement fait la constatation, posément,
    minutieusement,
    que le
    christianisme est un mélange savant de quelques bonnes
    idées bien étalées, et d'une démarche de
    conditionnement à une puissante imposture
    intellectuelle passant inaperçue à ses adeptes, et je
    vous rapporte mes
    observations. C'est
    une observation détaillée, sur ce que les choses sont,
    ce
    qui
    ne dépend pas de moi. C'est la pure expression de mon
    engagement
    envers la vérité, plus profond et authentique que
    jamais.
    Je n'ai fait que subir les contradictions et aberrations de la foi
    chrétienne et en prendre acte, puis m'efforcer à cesser
      de choisir mes opinions suivant quelque désir que ce
    soit, mais
    examiner les choses telles qu'elles sont en y
    réfléchissant profondément avec la plus grande
    attention et en m'informant (notamment sur les NDE), cherchant
    à
    comprendre la vérité et rien d'autre,
    reconnaître
    toute
    évidence qui s'imposera, mettre au jour la
    vérité
    quelle qu'elle
    puisse être. 
    En tant que mathématicien c'est
    tout-à-fait normal, c'est la démarche rationnelle. Les
    évidences écrasantes de la
    fausseté de la foi chrétienne se sont acharnées
    sur moi. Plus que cela, elles m'ont enfin libéré des
    contradictions dans lesquelles la foi chretiénne m'avait
    enfermé, et m'ont révélé une
    cohérence de compréhension du monde bien meilleure que
    ce
    qui m'apparaissait d'un point de vue chrétien. Ainsi il n'y a
    là aucune volonté de ma part, aucune vigueur, aucune
    force, seulement la sérénité de
    l'évidence.
    Je ne cherche pas à prouver quoi que ce soit, comme si mon
    acte
    d'élaboration et de rédaction des preuves pouvait
    influencer la vérité de quelque manière que ce
    soit, ce sont les évidences qui décident pour moi. Les
    preuves existent et s'imposent à moi premièrement, et
    je
    n'ai pas besoin de prouver quoi que ce soit à autrui pour
    savoir
    qu'elles sont correctes. Si j'avais par caprice cherché
    à
    prouver une chose fausse que j'aurais décidé
    arbitrairement de croire à l'avance (exactement le contraire
    de
    mon genre !), comment aurais-je jamais pu découvrir une telle
    clarté de compréhension des choses au bout du chemin ?
    Pour ces raisons, et la rationalité de ma démarche, je
    ne
    vois nul motif que j'aurais pu avoir d'être zélé
    à prouver les erreurs du christianisme, si ces preuves ne
    s'étaient pas imposé à moi premièrement.
    Pourquoi être zélé contre la
    vérité ?
    Ce ne serait pas une démarche rationnelle évidemment !
    Je
    ne vois pas le rapport non plus avec le fait de vivre ou non un
    certain
    évènement spirituel. Ca a uniquement rapport avec le
    fait
    que mon expérience et mes réflexions se trouvent
    m'avoir
    amené à ces preuves. Ce qui, suivant les gens et les
    circonstances, peut arriver ou non.
    
    Après quoi, je ne peux plus nier la vérité et
    il
    est naturellement de mon devoir de partager ma compréhension
    afin d'éviter à d'autres, qui cherchent
    sincèrement la vérité, de tomber dans le
    même piège des erreurs où je m'étais
    fourvoyé. Et aussi, il me semble important de répondre
    un
    peu aux calomnies que répandent les chrétiens à
    mon égard, comme quoi j'aurais trahi Dieu d'une quelconque
    manière, ne me serais pas confié en Lui correctement
    ou
    aurais eu une quelconque mauvaise attitude: de telles
    hypthèses
    sur ma vie personnelle sont totalement hors-sujet relativement
    à
    ces évidences objectives et universelles.
    Sur la multiplicité des arguments
    La foi chrétienne repose sur un certain nombre de
    motivations.
    Avant de commencer, je ferai une remarque méthodologique
    concernant la présence de plusieurs arguments de
    différentes natures à l'appui d'une même
    thèse.
    
    C'est de certitude qu'il s'agit de discuter, car chez les
    évangéliques la véracité de la doctrine
    est
    traitée et vécue comme une certitude, et non pas un
    coup
    de pocker hasardeux. Au sujet de cette certitude, on va examiner
    plusieurs motifs qui pourraient lui servir de fondement, en
    constituer
    des justifications du moins subjectivement.
    En effet, bien que les principes métaphysiques
    peuvent être en eux-même vécus comme
    certitudes sur la base de l'intuition personnelle et naturelle, les
    autres éléments de doctrine qui s'y ajoutent sont a
    priori inconnus au départ et nécessitent donc
    justification pour être admis.
    Or, la logique nous dit ceci: s'il se trouve en faveur d'une
    thèse un petit nombre fini d'arguments n'ayant rien à
    voir les uns avec les autres, et si l'ensemble de ces arguments
    fournit
    la certitude de la thèse, alors il doit exister un des
    arguments
    évoqués qui fournit cette certitude à lui tout
    seul.
    
    Je dis cela en souvenir d'une discussion qui n'avait rien à
    voir: des arguments de Bernard Chaverondier à l'encontre de
    la
    théorie de la relativité. Il présentait en
    effet
    plusieurs arguments, chacun visant à donner une sorte
    d'intuition
    ou d'impression que la relativité était fausse. Quand
    on
    connaît bien le sujet, on voit facilement qu'aucun argument ne
    tient,
    et l'impression que peut avoir l'un ou l'autre ou la succession des
    deux
    de faire "pencher" du côté qu'il dit est parfaitement
    illusoire
    et lié à la manière tordue qu'il avait
    d'exposer
    la
    chose, tandis que du point de vue de la compréhension
    profonde
    au-delà
    des impressions naïves, rien de tout cela ne s'avérait
    pencher
    comme il disait. Jusqu'à ce qu'on délaisse les
    arguments
    fallacieux pour se concentrer sur ceux qui pourraient
    réellement
    être défendables.
    En fait, une présentation de plusieurs arguments pour
    démontrer quelque chose est logiquement absurde dans la
    mesure
    où, puisque l'on veut amener à une certitude, un seul
    argument devrait suffire; le besoin d'en donner d'autres peut trahir
    le
    fait qu'aucun d'entre eux en particulier n'est suffisant, et
    constituer
    une stratégie éventuellement inconsciente d'obliger
    l'autre à se fatiguer à tous les réfuter avant
    d'avoir le droit d'être honnêtement en désaccord.
    Sauf bien sûr à l'inverse lorsque la méthode est
    poussée très loin comme le cas des
    vérifications
    expérimentales d'une théorie où l'on dispose
    d'une
    ressource illimitée d'expériences diverses qui toutes
    confirment la théorie avec une grande précision.
    L'accumulation de confirmations peut alors asymptotiquement tenir
    lieu
    de preuve.
    
    C'est pourquoi, les chrétiens pour avancer leurs certitudes
    devraient savoir préciser clairement deux ou trois arguments
    bien précis et déterminants à l'appui de leur
    foi,
    permettant de concentrer dessus la discussion; de même, j'ai
    énoncé deux ou trois réfutations très
    précises et incontestables du christianisme,
    sauf que les chrétiens ne sont pas des gens disposés
    à
    appliquer les règles normales de la logique à la
    critique
    de
    leur foi, mais sont toujours prompts à se raccrocher à
    n'importe
    lequel de leurs nombreux prétextes et réflexes
    religieux
    pour
    refuser d'admettre la réalité de leurs erreurs
    même
    lorsqu'on
    la leur a mis sous leur nez. Par conséquent, et aussi face
    à
    l'ampleur de ce désastre de l'emprise de la doctrine
    chrétienne
    sur le monde actuel et par mesure d'éducation pour
    désamorcer
    les nombreux pièges tendus par cette doctrine pour se
    répandre,
    je vais m'appliquer ici à faire un certain nombre de
    développements.
    Pas n'importe lesquels cependant bien sûr pour rester
    efficace.
    J'examinerai
    donc surtout les principaux arguments soi-disant à l'appui de
    l'Evangile, tendances et modes de
    pensée,
    ceux qui comptent dans la pratique de la foi, de l'enseignement
    biblique
    ou de l'évangélisation tels que je les ai
    constatés. Ce seraient des candidats possibles à
    être l'argument décisif; qu'ils soient
    réellement
    sérieux ou non, ce sont du moins
    les acteurs physiquement présents sur la scène et
    responsables de la persistance de cette religion. 
    
    On n'évoquera pas les arguments ridicules, sophismes
    marginaux
    faussement
    plaqués sur cette religion, qui reflèteraient mal le
    niveau
    de réflexion atteint et donneraient facilement aux
    contradicteurs
    l'illusion d'une réfutation facile face à un
    interlocuteur
    "idiot" qui ne mériterait pas d'être pris au
    sérieux. En effet, on ne saurait trop mettre en garde contre
    les
    arguments inexacts ou inopportuns ou autres vaines discussions ayant
    été balbutiés
    au hasard de l'histoire par divers philosophes, que les
    chrétiens
    se font ensuite une joie de citer pour discréditer en bloc
    toute
    idée
    d'une possible critique de leur doctrine qu'ils présenteront
    donc
    comme la seule option capable de tenir la route,
    dénigrée
    à
    tort et finalement victorieuse. 
    
    Car il s'agit finalement d'un des problèmes les plus
    sérieux
    qui soient au monde, et qui ne mérite pas la dérision
    où
    mèneraient des jeux d'arguments médiocres. Cependant,
    je
    reconnais
    après coup que quand on réfléchit bien, le
    christianisme
    se révèle réellement être une
    énorme
    connerie,
    au point que je n'en reviens guère d'avoir pu y
    adhérer
    si
    longtemps. Mais c'est une connerie très subtile et
    sophistiquée,
    qui exige des réponses parfois très subtiles aussi.
    
    D'un côté les chrétiens accumulent pour
    impressionner divers arguments détournés sans laisser
    assez de temps pour en peser la vraie valeur, de l'autre ils
    laissent
    entendre que
    
      "Les autres n'ont pas d'argument"
    
    En voilà un bel argument. Etant donné que la Bible est
    l'infaillible Parole de Dieu, il ne peut donc y avoir d'argument
    valable à son encontre. Pas la peine d'aller vérifier.
    Il m'est arrivé ainsi un certain nombre de fois d'entendre
    des
    exposés de prédicateurs sur tel ou tel sujet
    impliquant
    la foi (exemple:
    création
    contre évolution) ou aspect des fondements du christianisme,
    prétendant
    rendre compte des arguments des non-chrétiens (soigneusement
    sélectionnés par ces prédicateurs) et conclure
    que
    ces
    arguments ne tenaient pas la route. Cela, sans que les opposants ne
    soient
    effectivement présents dans la salle pour admettre qu'ils
    aient
    effectivement été réfutés. Comme
    d'habitude,
    les absents ont toujours tort.
    
    Or, j'ai été voir les différents sites
      anti-chrétiens (chez
      dmoz et ailleurs - voir autres
      liens).
    Laissant de côté bien sûr les quelques critiques
    contre
    l'existence de Dieu, j'y ai trouvé beaucoup d'arguments
    solides,
    non seulement sur "qui a raison" mais aussi des analyses critiques
    par
    exemple sur la réalité sociologique du mouvement
    évangélique, qui, quand bien même on voudrait
    encore rester chrétien,
    constituent une mise en lumière des pratiques absurdes de la
    foi
    qui mérite une grande attention. Un point essentiel là
    est
    de lire dans le texte l'ensemble des critiques telles qu'elles sont
    effectivement
    formulées par les opposants à la doctrine
    chrétienne,
    au lieu de faire semblant de les considérer en se fiant pour
    cela
    au compte-rendu du prédicateur de service, ne prenant que les
    questions
    mal placées, naïves et celles qui les arrangent dans un
    but
    d'"éducation" aux fondements de la foi et en les tournant
    comme
    ils veulent pour les minimiser. Pour cela, ils ont beau jeu
    d'exploiter
    la maladresse des athées qui n'ayant pas saisi la
    signification
    de l'existence de Dieu et de la vie après la mort croient bon
    de
    chercher à réfuter ces points et en font leur cheval
    de
    bataille
    préféré pour se donner trop facilement raison
    les
    uns
    aux autres en supposant que cela puisse appuyer leur cause contre
    les
    religions,
    démarche qui est bien sûr une catastrophe. C'est
    pourquoi
    il est important de mettre les choses au point, comme j'ai fait en
    répondant aux textes d'un site athée (euh,
    réponse
    pas en ligne actuellement)
    
    Bref, vous pourrez voir qu'au lieu de relire la Bible plusieurs fois
    et
    de passer des centaines
    d'heures à écouter les sermons et arguments
    biaisés qu'on voudra bien vous servir à
    l'église
    dans le but de vous y conformer, passer quelques heures à en
    lire les bonnes réfutations que d'habitude les
    chrétiens
    passent sous silence ne sera pas une perte de temps.
    
    Passons à l'examen des arguments. Rappelons qu'il ne s'agit
    pas
    de prouver ou réfuter l'existence de Dieu, laquelle sera
    déjà supposée acquise (euh,
    désolé
    pour les lecteurs athées, mon objectif étant
    pour m'adresser efficacement aux chrétiens, de rester dans ce
    cadre qui est le mien et dont d'ailleurs j'aurais du mal à
    sortir puisque je le tiens pour vrai), mais de discuter plus
    précisément à partir de là, comment
    tente
    de se justifier la doctrine chrétienne et pourquoi elle est
    fausse.
    Présentation sythétique de la vision du monde
      chrétienne fondamentaliste
    Voici la Bonne Nouvelle, la
    révélation de la Sagesse divine infiniment plus
    merveilleuse que tout
    ce que l'homme aurait pu imaginer. C'est simple et facile à
    comprendre, à la portée de tous, y compris et surtout
    des
    enfants auxquels Il nous invite à ressembler pour nous
    dépouiller de notre vieil homme charnel: 
    Le Dieu qui se révèle en Jésus est un Dieu
    inimaginablement Saint de Justice et d'Amour, témoignant par
    ce
    record de superlatifs de son authenticité contre toute autre
    idée de Dieu que les hommes aient jamais pu imaginer comme
    Vénus ou Aphrodite. La voici: 
    Sa Justice infinie c'est d'avoir une grosse envie qui le
    démange
    de tous nous envoyer en enfer, un lieu de souffrances
    éternelles, car notre péché
    hérité
    de celui d’Adam nous rend tous insupportables a Ses yeux; ou sinon,
    par
    défaut, pour pouvoir bien satisfaire Ses envies de
    défoulement de sa Justice à cet égard,
    d'envoyer
    temporairement quelqu'un d'autre en enfer à notre place, de
    préférence quelqu'un pur de tout péché,
    comme par exemple (en l'occurence la seule solution) Son propre cher
    Fils Unique Jésus. 
    Sa Bonté et Son Amour infini c'est d'avoir envoyé
    parmi
    nous son Fils Jésus. 
    D'abord comme modèle d'homme parfait que nous devons suivre.
    Pour cela, sa vie nous est décrite dans les Evangiles. Nous y
    apprenons d'abord et principalement qu'il était... le seul
    homme
    sans péché, saint et pur devant Dieu, information
    évidemment capitale et extrêmement instructive pour
    nous
    aider à imaginer par nous-même les autres
    détails,
    et par là nous permettre de mieux l'imiter. Très
important,
      en effet, que la sainteté morale en cette vie
      terrestre. Après, si on veut entrer dans les
    détails,
    très inspirants et purs modèles de sainteté
    à imiter également sont sa manière de
    guérir les aveugles, de dire au paralytique :
    "Lève-toi et
    marche !", de ressusciter les morts, de mentir effrontément,
    de
    maudire au passage le figuier qui
    ne porte pas de fruit, et d'annoncer que qui mange de sa chair et
    boit
    de son sang ne périra pas mais aura la vie éternelle.
    En suite, comme rédempteur de l'humanité, à
    travers sa mort sur la croix, sa descente aux enfers et la victoire
    de
    sa résurrection, par laquelle il est venu subir la justice de
    Dieu à notre place, seul moyen de nous faire pardonner
    auprès de Dieu notre condition de pécheur et ainsi
    nous
    offrir la vie éternelle au paradis. 
    Cette offre gratuite, généreuse et magnifique sans
    contrepartie, de nous avoir déjà remplacé en
    enfer
    il y a 2000 ans dans les heures précédant sa
    résurrection, s'accomplira en chacun de ceux d'entre nous qui
    l'acceptera pendant sa vie sous la forme d'une pieuse
    démarche
    de foi fervente, gratuite et arbitraire, inspirée de Dieu, en
    la
    véracité de cette histoire incroyable dont rien
    n'indique
    l'authenticité, de Jésus qui a été
    envoyé par Dieu
    pour accomplir et nous révéler toutes ces choses; et
    qui
    sera émerveillé par tant de bonté et de
    sainteté. Révélation incroyable mais
    généreusement conçue pour être clairement
    à la portée de n'importe quel imbécile
    (surtout,
    que personne n'imagine que Dieu puisse favoriser moindrement les
    gens
    plus sérieux et intelligents à cet égard,
    quelle
    horrible idée ce serait). Cela afin de satisfaire totalement
    les
    exigences de l'indiscutablement universelle bonté et justice
    de
    Dieu, que la vie éternelle à laquelle la foi en
    Jésus est indispensable, soit offerte à tous: il est
    en effet à portée de tous de se mentir à
    soi-même en faisant semblant de savoir ces choses sans preuve:
    il
    suffit d'être assez con et
    malhonnête pour cela. Bien évidemment,
    l'opportunité de cette foi est aussi offerte à tout
    esprit honnête sans qu'aucune vraie bonne raison ne vienne
    jamais
    réellement y faire obstacle en l'esprit de qui la recherchera
    sincèrement, puisque précisément ces choses
    sont
    vraies, et qu'il ne saurait exister de vraiment bonnes raisons
    à
    l'encontre de la vérité. Dès lors, il est clair
    et
    inutile d'aller vérifier plus avant que ceux qui
    prétendraient avoir de bonnes raisons de croire le contraire
    ne
    peuvent être forcément que des esprits pécheurs,
    durs de coeur, fermés d'esprit, rebelles à Dieu et en
    train de se fourvoyer, qui méritent
    bien l'enfer qui les attend.
    
    De plus, l'infinie bonté de Dieu,
    c’est aussi le libre choix qu’Il nous laisse gracieusement de notre
    destinée: Dieu
    souhaiterait que tout homme soit sauvé, tout en sachant que
    cela
    n'arrivera qu'à bien peu d'entre nous, car Il n’oblige
    personne
    à
    accepter la Vie Eternelle contre son gré. Il respecte en
    effet
    absolument le choix de ceux qui
    ne veulent pas être sauvés mais préfèrent
    se
    fourrer le doigt dans l'oeil librement en toute connaissance de
    cause
    (la Bonne Nouvelle étant publiquement annoncée
    à
    tous et nul ne pouvant dès lors l'ignorer), en rejetant
    ingratement et délibérément cette offre
    généreuse à coup d'incrédulité
    envers l'existence réelle de celle-ci, afin d'aller en
    enfer suivant Sa Justice, car même le
    plus petit péché commis condamne son auteur à
    l’enfer. 
    
    A quoi bon tenter de remédier aux péchés de
    l'homme ou aux souffrances
    du monde ? Nous n'aurions de toute façon pas le temps de
    profiter du
    résultat avant de mourir et d'être envoyé en
    enfer
    à cause de notre
    nature pécheresse. En effet, pour aller au paradis, le seul
    moyen est
    de plaire à Dieu en nous conformant à Ses Saints
    commandements, de
    toute façon pas de discussion ya rien à comprendre,
    c'est
    lui le chef
    qui sait tout mieux que nous et si vous prétendez fabriquer
    votre
    propre mission au lieu de celle qu'il a révélé
    pour nous par son Fils,
    il vous laissera libre de le faire en ne venant pas vous contredire
    en
    face parce qu'il est gentil et ne veut surtout pas vous contrarier
    pour
    vous laisser ainsi une dernière chance de l'aimer, mais par
    contre ensuite par derrière, une fois qu'enfin vous serez
    mort,
    sans défense corporelle, et que personne sur terre ne pourra
    plus vous entendre crier: si
    vous ne vous êtes pas repenti à temps de l'orgueil de
    votre entreprise, si vous ne vous êtes pas converti, n'avez
    pas
    été ébahi par la magnificence de Ses oeuvres et
    de
    Ses révélations, que vous n'avez pas eu la plus haute
    opinion de Lui ou
    que vous n'avez pas témoigné de votre confiance en Lui
    par votre foi inébranlable en le fait qu'Il a
    réellement
    dit ce qu'une source invérifiable prétend qu'Il aurait
    dit, que vous auriez eu le culot d'en mettre en doute
    l'authenticité... alors il sera désormais trop tard
    pour
    le faire ou que Dieu puisse encore agréer votre repentir: pan
    pan culot vous irez en enfer, et il n'y aura
    plus de miséricorde ! (C'est ici le danger suprême de
    quoi Il a la
    bonté de tenter de vous préserver par l'invitation
    qu'Il vous adresse à
    croire en Sa parole, à travers tous les efforts de Ses
    serviteurs à
    vous conjurer de croire sur parole toute cette histoire incroyable
    et
    invérifiable.)
    
    De toute façon, péché et souffrances ne sont
    soit
    qu'irrémédiables fatalités
    (héritées
    du péché d'Adam, ou du fait que le monde est
    gouverné par le diable), soit l'expression de la
    volonté
    de Dieu; et
    maudit soit
    l'orgueilleux qui oserait se croire supérieur à
    Jésus en y cherchant
    une autre solution un tant soit peu globale, et contester la
    bonté
    divine qui a voulu que ces choses soient ! l'existence de la
    souffrance
    prouve à elle seule qu'elle a un sens (même si
    personne ne connait ce sens) ou que l'homme la mérite par son
    péché; car Dieu a fait toutes choses parfaites !
    Même le péché (concept
    vague et général qu'il n'y a pas à tenter de
    préciser, symbolisant tout ce qui dans l'homme
    serait à
    l'origine du mal, surtout ne pas chercher à comprendre
    comment
    ni
    pourquoi) étant de toute manière
    irrémédiable, y
    compris celui du chrétien, il n'y a pas lieu d'y chercher le
    moindre
    remède, seul Dieu est habilité à changer notre
    vie
    si Sa bonté le lui chante (dans le cas contraire, encore une
    fois il n'y de toute façon rien à dire car c'est lui
    le
    chef). 
    
    Non, notre unique mission à tous pour laquelle Dieu nous
    propose
    généreusement de le suivre au cours de notre vie
    terrestre, à quoi nous devons nous consacrer, la seule chose
    qui
    donne sens à la vie, tout l'idéal auquel nous devons
    consacrer nos moindres désirs et l'attention de notre
    être
    au cours de notre
    vie terrestre, est celle-ci: croire et consacrer le reste de sa vie
    à
    propager, suivant l'appel de Dieu, cette histoire de Jésus
    comme
    la Vérité suprême, rejoignant ainsi l'Alliance
    avec la
    bonté de Dieu dans la guerre entreprise par Celle-ci contre
    des
    risques d'occurences particulières de l'exercice de la plus
    monstrueuse
    horreur de l'univers
    qui surpasse toute autre monstruosité, la plus absurde
    et insoutenable, pire encore que le péché d'Adam et
    tous
    les péchés de
    l'humanité réunis: la terrible Justice de ce
    même
    Dieu prête
    à s'abattre dans l'au-delà sur les défunts qui
    n'auront pas rejoint cette même Alliance avec Lui. 
    L'objectif exclusif visé au cours de cette Sainte Guerre
    étant que, nous-mêmes et un par un individuellement,
    nos
    proches qui nous seront pour cela infiniment reconnaissants, soyons
    exemptés des justes coups de cette Cosmique Terreur en vertu
    de
    notre foi en Jésus pour la vie éternelle, et passions
    ainsi le reste de l'éternité à chanter les
    louanges de ce Dieu dont ceux qui par ailleurs seront restés
    incrédules ou qui auront
    cru à toute autre doctrine envoyée
    par le diable pour tromper les hommes et les priver du salut,
    continueront de subir les châtiments pour
    l'éternité.
    
    Et puis, après avoir laissé les espèces
    vivantes
    et les hommes souffrir du péché et de la misère
    jusqu'ici, Jésus va enfin bientôt revenir et
    détruire la terre pour surtout éviter à
    l'humanité de s'enfoncer dans le péché de la
    paresse et de la jouissance des chances d'une vie plus confortable
    et
    plus intelligente, que les
    technologies et extraordinaires connaissances scientifiques
    nouvellement acquises après tant de millénaires
    à galérer sans elles,
    s'apprêtaient enfin à lui offrir, et aussi
    accessoirement pour effacer soigneusement toute trace des
    dégats
    écologiques auxquels Son infinie Sagesse ne nous a pas
    appelés à remédier. Maranata ! Que Jésus
    revienne, le plus tôt sera le
    mieux !
    
    
    (Petite précision sur mon avis sur le sens de l'amour,
      au
      contraire des idées ci-dessus: le
      véritable amour ne doit pas consister à laisser
      quelqu'un
      se faire du mal, en tout cas pas irrémédiablement,
      mais
      seulement peut-être provisoirement pour qu'il en tire
      leçon, puis à l'en protéger même contre
      son
      gré, puisque personne ne veut réellement se faire du
      mal.
      Si nous nous faisons beaucoup de mal, et si beaucoup font du mal
      aux
      autres et seront obligés de le regretter, c'est qu'il y a
      des
      problèmes techniques et que l'ordre des choses a vraiment
      des
      problèmes; qu'il est de notre devoir de tenter d'y
      remédier; et que la meilleure foi est celle qui consiste
      à croire que ces tares qui affectent l'ordre des choses
      pourra
      et devra cesser ou du moins se réduire fortement; ce qui
      devrait
      d'autant plus fortement nous exhorter à travailler pour
      découvrir et hâter cette issue
      que même avant de la connaître on
      devrait croire possible par la foi en la bonté de Dieu.)
    Présentation synthétique de la vision du monde
      chrétienne modérée
    Après avoir laissé la vie terrestre jouir de la
    liberté de sa misère pendant des milliards
    d'années sans lui avoir fait le moindre coup de pouce
    créationniste ou autre, le Fils de Dieu s'est un jour
    subitement
    décidé de venir s'incarner et mourir sur la croix dans
    la
    dernière espèce la plus puissante, celle qui allait
    bientôt se mettre à détruire
    l'écosystème. Pourquoi donc ? Pas pour sauver
    celui-ci,  ni pour indiquer, comme il aurait pu, aux hommes de
    bonne volonté les moyens de construire un monde
    soulagé
    d'une part appréciable de ses nombreuses souffrances. Non.
    Dieu
    aurait fait tout cela pour le seul amour du fait de nous faire un
    petit
    coucou et nous dire qu'il nous aime, mais surtout ne rien
    écrire
    de clair et de précis à destination des
    générations futures: le Fils bien-aimé de Dieu
    est
    seulement venu se fatiguer à faire en cachette, à une
    époque dépourvue des technologies adéquates de
    peur d'y laisser des traces crédibles (ce qui aurait eu
    l'effet
    catastrophique de violer notre liberté de conscience), les
    miracles les plus
    extraordinaires de tous les temps conformément à ce
    que
    les hommes avaient déjà imaginé dans leurs
    mythes
    précédents, rien que pour prouver sa divinité
    et
    l'importance de ses paroles à ceux qui auront la fantaisie de
    croire en l'authenticité du récit de ces miracles. Il
    est
    venu ainsi s'adresser exclusivement à cette espèce
    animale-là dans le propre langage de celle-ci, leur dire des
    choses facilement accessibles aux plus simples d'entre eux, qu'ils
    pouvaient facilement imaginer, comprendre et retransmettre, comme
    l'idée que seuls des espèces animales ils
    étaient
    faits par Dieu à Son image, que nous sommes libres et
    responsables de nos actes, et qu'il nous invite à rendre
    à César ce qui est à César et à
    vivre en suivant chacun sa conscience, de sorte que cela finisse
    par s'imposer de soi-même dans ce troupeau face aux paroles de
    tant d'autres messies a priori semblables au départ. Il n'a
    rien
    écrit par lui-même, de peur que les
    générations suivantes aient la moindre chance de
    savoir
    précisément ce qu'Il aurait voulu dire, mais a
    préféré confier à d'autres le soin de
    bien
    déformer ses dires au gré de leur humeur et de la
    culture
    de l'époque, pour que soit donné libre cours aux
    entreprises de récupération à l'infini de ses
    paroles par divers groupes et institutions prêts à
    perpétrer bien des massacres en son nom. Quant à tous
    ceux que cette affaire stimulera à tenter
    désespérément de
    reconstituer à coups de réinterprétations
    à
    l'infini ce qu'il aurait vraiment voulu dire (c'est-à-dire de
    toute façon pas grand-chose de bien important), cela leur
    offrira l'opportunité de donner libre cours à leur
    imagination créatrice. Ainsi
    a-t-il invité pour les siècles des siècles les
    hommes à réjouir leur coeurs en mémoire de Son
    amour par la contemplation pleine de dévotion, de ce nuage de
    fumée qu'il a ainsi
    soulevé un jour dans l'Histoire.
    Liste des arguments
    Analyses développées sur les fichiers liés:
    (Introduction
à
      la conversion: quelques autres questionnements
    existentiels qui mènent à envisager de devenir
    chrétien)
    La
      bonne
      nouvelle de l'Evangile : comme son nom ne l'indique pas, voici
    des
    preuves que l'Evangile, s'il voulait se garder d'une
    malhonnêteté flagrante dans sa démarche, ne
    devrait
    en aucun cas être présenté comme une bonne
    nouvelle; ainsi donc il porte la marque de sa
    malhonnêteté dans son nom même.
    "Preuves
      historiques" et valeur prophétique de la Bible - autre
    réfutation
d'un
      texte de prétendue preuve en anglais
    
      Quelques réfutations du christianisme
      évangélique
      en
      bref par des arguments théoriques simples, clairs,
    pleins de
    sens, solides et rigoureux, mais jugez-en vous-mêmes...
    Résumé des
      principales réfutations de la Bible
    L'alternative
au
      nihilisme et les conversions "miraculeuses" -
      Cohérence "miraculeuse" de la Bible et
      élégance
      théorique
    Croire
      pour
      être sauvé
    Logique
rationnelle
      contre logique chrétienne: "La foi n'est pas une
    affaire d'argument", mais prétend néanmoins que "la
    vérité est unique"; mais en fait, laquelle de ces deux
    logiques plane infiniment au-dessus de l'autre ? 
    La
      rencontre personnelle avec Dieu
    Recevoir
les
      dons du Saint Esprit
     La foi
      comme source exclusive du vrai bonheur, et autres promesses
      indubitables de Dieu
    
      Faire
      la volonté de Dieu
    Se
      modeler au caractère de Dieu 
    Les 10
      commandements pour le chrétien
    Des
discussions
      par mail avec
      des
      chrétiens
    Visite d'une
      église évangélique pentecôtiste
    muni de
    quelques tracts
    ;-)
    Les miracles de
      Jésus sous l'éclairage de la science
    Une analyse critique du récit de
      la Résurrection du Christ par un auteur souhaitant
    rester anonyme
    Témoignages
      non
      chrétiens.
    Remarques diverses
    Quelques tentatives de discussions
      avec des catholiques
    
    Textes de portée plus large, qui néanmoins
    complètent utilement la compréhension de ce sujet:
    
    Mes positions sur quelques grandes
      questions , dont des grands thèmes spécifiques
    sur
    des pages séparées:
    
    
    
    Une
inspiration,
      pas une théorie !: argument qui
    s'adresse
    aussi bien au christianisme qu'à Walsch et d'autres...
    Le parallèle entre
      zététique et foi évangélique
    Conclusion
    Résumé de ma position en 3 minutes
    Pour résumer rapidement et faire ressortir le sens d'un
    grand nombre des arguments contre le christianisme
    développés
    dans les textes joints:
     Dieu existe, oui mais...
          La "foi en Dieu" n'est pas Dieu, et ne nous éclaire pas
          sur les
          vérités et volontés de Dieu, mais laisse
          l'homme
          suivre toute orientation choisie ou imposée, biblique
          ou autre.
          Par contre la foi en une doctrine particulière, en tant
          que
          croyance adoptée par choix et traitée comme une
          certitude
          sans
          raison valable, est un acte de malhonnêteté par
          excellence. S'il était établi qu'une parole est
          de Dieu,
          la foi en la véracité de son contenu serait une
          nécessité rationnelle et un devoir, par contre
          la foi
          sans preuve qu'une parole est de Dieu comme d'autres croient
          qu'une
          autre parole est de Dieu, est arbitraire et n'a rien
          d'hononable. Cela
          tourne à la corruption lorsque croire et proclamer sans
          raison
          des choses se fait pour un avantage ("pour être
          sauvé" ou
          avoir les faveurs de Dieu). Mais, si jamais Dieu ressentait
          les injures
          à Son égard, l'injure à Dieu serait
          plutôt
          le fait de le croire et le prétendre
          reflété dans
          ce
          portrait que nous donne la Bible d'un Dieu abruti, sectaire et
          corrompu
          nous demandant de croire à des sornettes et de
          pratiquer
          l'aveuglement et la malhonnêteté intellectuelle
          au titre
          de vie avec Lui sous peine d'un châtiment
          éternel.
        
    Les
      témoignages de gens qui ont vraiment vu Dieu en
      frôlant la
      mort (NDE) réfutent notamment la doctrine de la
      rédemption, montrant que le salut ne dépend pas des
      opinions religieuses ou métaphysiques préalables. 
      Une poignée de serviteurs de Dieu vraiment
      éclairés auraient su établir sur terre un
      monde
      bien meilleur plus rapidement qu'on n'imagine. La dévotion
      n'y
      suffit pas.
    Un livre vraiment révélé de Dieu pour
      guider notre
      vie et lui donner un sens, aurait eu la sagesse d'impulser
      collectivement l'humanité sur la voie d'un progrès
      fiable
      et équilibré, en nous aiguillant notamment sur la
      méthodologie et l'importance fondamentale du sens des
      responsabilités (envers soi-même et envers autrui),
      des
      facultés d'organisation, de
          discernement et des
          progrès des diverses connaissances humaines
          adéquates qui
          au-delà de leur simple valeur morale et spirituelle
          comme
          reflets de la sagesse divine, sont hautement
          nécessaires au
          salut collectif de l'humanité dans sa destinée
          terrestre
          et la préservation de son environnement.
      (Ceci inclut bien sûr l'apprentissage du
        discernement
        nécessaire quant aux différences de dons et de
        chances
        auxquels les humains peuvent être confrontés dans
        leur
        destinée terrestre sur le plan individuel, afin d'assurer
        les
        modalités d'intégration sociale, de valorisation
        humaine
        ainsi que la reconnaissance et la gestion responsable des
        difficultés individuelles des uns et des autres autant
        que faire
        se peut. Il nous amènerait ainsi notamment à
        valoriser et
        promouvoir l'exercice de chacune des facultés utiles
        à
        l'humanité sur le plan pratique pour le bien collectif
        tout en intégrant ceux qui seraient moins pourvus de
        telle ou
        telle
        de ces facultés, en insistant sur le fait que (ici comme
        face
        à tant d'autres problèmes) toute
        considération
        moraliste doit être reléguée au second plan
        au
        profit d'un long travail de discernement et de la recherche
        approfondie
        et persévérante d'une organisation
        adéquate.)
        
          Il serait autrement plus intéressant que cette Bible
          médiocre qui n'a de supérieur que les
          prétentions,
          et qui ne séduit notre soif de vérité et
          notre
          désir de bien faire que pour mieux les gaspiller au
          profit de
          l'éloge inconsidéré de sa creuse doctrine
          et de
          ses vaines promesses faussement spirituelles, substituts de
          Dieu
          seulement propres à nous aveugler. Les critiques contre
          elle
          sont diverses et sérieuses, encore faudrait-il y
          prêter
          attention ! 
        
        Pour le meilleur ou pour le
          pire,
          Dieu a laissé la terre entre nos mains sans
          instruction. 
        Réfléchissons:
          en y travaillant sérieusement, nous pourrions
      faire
            bien mieux dans la compréhension de la vie et de
            l'autre, et la
            construction d'un monde meilleur.
         
    
    Voir aussi
    
    Liens d'opinions dont sites de
    critique du
    christianisme. En particulier l'argumentaire en anglais Debunking
Every
      Argument of
      Christian Fundamentalists and Evangelists : assez complet, aux
    nombreux arguments bétons, suvent moins philosophiques mais
    plus
    rigoureusement factuels que le mien.
    Discussions de forum au sujet de ces pages de critique du
      christianisme
    Forum philosophie sur ce site, où il
      y
      eut quelques discussions avec des chrétiens:
    
    
    
      Copie de l'autre forum religion qu'il
        y
        avait sur ce site
    
    Article
Agoravox
        sur l'historicité du récit des évangiles
    
    entrée
        dans
        le
        forum laïque assoaime.net (janvier 2006) où est
      noté le rapprochement avec l'islam
      
      Il y avait deux discussions: une à laquelle j'avais
      consacré beaucoup d'énergie dans le le forum des
        jeunes chrétiens de Suisse-Romande initiée
        par une jeune déconvertie suite à l'exploration du
        présent site. L'autre dans
        le forum topchrétien. Ces deux discussions, sur des
      sites gérés par des chrétiens, ont disparu du
      web.
    Je suis bien conscient du fait que ce faisant ils n'ont pas eu
      une
      quelconque conscience explicite de destruction d'information ou de
      censure des voix de critique, qu'ils n'ont pas pensé
      à moi en faisant
      cela, et qu'il ne tenait qu'à moi de faire des copies si je
      voulais les
      sauvegarder; j'ai donc ma part de responsabilité dans cette
      négligence
      (sauf que je n'avais pas l'impression que faire une copie d'une
      discussion hébergée par d'autres dans un esprit
      défiant et stratégique
      soit une pratique correcte, civilisée, respectueuse des
      droits d'auteur
      et automatiquement exigible de quiconque souhaite qu'une
      donnée soit
      préservée).
    
    Il n'en reste pas moins que:
    - Il n'y a pas de difficulté technique à
      sauvegarder en archives un ensemble de discussions passées,
      dès lors qu'on le souhaite;
    - Cela contribue généralement, non comme preuve
      exclusive, mais
      comme anecdote supplémentaire confirmant une énorme
      tendance globale
      maintes fois constatée par ailleurs, à
      discréditer toute prétention des
      chrétiens à avoir le moindre respect envers les
      échanges d'arguments
      rationnels et la recherche de la vérité. 
    
    Plus précisément, cela illustre une fois de plus
      leur méthodogie qui
      leur permet de ne pas en faire exprès d'en faire
      exprès de ne pas en
      faire exprès d'être intellectuellement
      malhonnêtes. Et en particulier,
      que c'est
        une pure perte de temps que d'essayer de discuter avec eux:
      d'abord ils n'ont aucun sens de ce que le mot "argument" peut
      signifier
      (tout comme ils n'ont aucun sens de ce que peut signifier le mot
      "vérité" à part qu'elle s'appelle
      Jésus, celui-ci étant sensé avoir dit
      "je suis la vérité"...), aucune évidence ne
      peut avoir d'effet sur eux; puis ils mettront à la poubelle
      toute
      preuve qu'on pourrait essayer de leur présenter, comme si
      cela
      n'existait pas. (Ils gardent en effet une foi aveugle divinement
      inébranlable en la non-existence de preuves contre leurs
      positions,
      quand bien même on leur mettrait sous le nez).
    
    Néanmoins en voici la
        première page suvi d'un résumé de quelques
        points essentiels de la suite.
    
    Plus sérieusement et plus généralement : le
    fait que la foi est basée sur l'ignorance et que les
    "arguments" chrétiens ne résistent pas au
    débat, se manifeste notamment par le fait qu'ils sont
    désespérément minoritaires dans les espaces de
    débats, par exemple celui-ci. Il ne tient
    qu'à eux de venir y apporter leurs arguments, s'ils pensent
    avoir quelque chose à défendre.
    Autres chapitres philosophiques en rapport:
    Métaphysique
    Liberté, hasard, destin,
      causalité
    Critique de "Conversations avec Dieu" de Neale
      Donald Walsch
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