Sur la répartition du revenu entre capital et travail

et critique de la retraite par répartition


Un thème récurrent des propos de gauche et de l'antilibéralisme est de fustiger les taux d'intérêt, trouvant injuste que le revenu issu de la valeur ajoutée aille en partie importante au capital aux dépens du revenu du travail. Ainsi la gauche accuse la droite et généralement les politiques libérales, de favoriser le revenu du capital, et se propose de mener une politique sociale, opposée au libéralisme, qui prétend résister à cette tendance, au moyen de règlementations et d'une redistribution sensés rééquilibrer la situation, en favorisant le revenu du travail aux dépens du revenu du capital.

Or:

D'une part, l'existence d'une inégalité des "richesses" est, à la base, la stricte conséquence de la règle d'équité, hormis le fait qu'initialement certaines richesses ont pu se constituer injustement: problème important mais conceptuellement distinct de celui dont je veux parler ici.
En effet, imaginons deux personnes partant d'une même situation. L'un est sérieux, travailleur et économe, et s'efforce toute sa vie de faire du bon travail en ne dépensant que le nécessaire. Alors il devient "riche". L'autre, inconscient et dépensier, se moque du travail ou pour une raison quelconque ne parvient pas à se rendre utile, et dilapide tout ce qu'il a. Il devient "pauvre". Or, certains prétendent que l'inégalité des "richesses" est par principe injuste, et veulent répartir toutes les richesses existantes à égalité entre tous. Qu'est-ce que cela signifie ? Que celui qui a travaillé dur toute sa vie et a économisé, perdra la reconnaissance de ses contributions et devra en donner la valeur à celui qui a gaspillé. Et c'est là la véritable injustice, la véritable inégalité instituée: que les uns travaillent et se restreignent, tandis que les autres, insouciants, se comportent en parasites dilapidant indéfiniment le fruit du travail des premiers, sans opposition possible de la part de ceux-ci.
Or, le taux d'intérêt (le revenu du capital) participe de cette même logique d'équité, puisque qui a épargné a fourni des capitaux au système productif, ce qui permet un accroissement de la production qui n'aurait pas été possible sans cela. Qui épargne, puis accumule du capital et des taux d'intérêt et enfin consomme ainsi plus que la quantité apparente des heures de travail initialement fournies, n'a pas parasité la société, puisqu'il n'a fait que consommer la part de production dont lui est réellement redevable le système productif, grâce à la part de capitaux que cet épargnant lui avait laissé pour son fonctionnement.

D'autre part, il n'y a rien de plus mensonger qu'une telle prétention des politiques dites "sociales" de soi-disant favoriser l'emploi et le revenu du capital aux dépens du revenu du travail, car en réalité les conséquences de ces politiques "sociales" sont diamétralement opposées à leur objectif affiché. Ce sont elles qui détruisent l'emploi et favorisent les revenus du capital aux dépens du revenu du travail, en plus d'être inéquitables, tandis que les politiques libérales qu'ils fustigent seraient au contraire très précisément la meilleure méthode de favoriser l'emploi et les revenus du travail.
Les antilibéraux ne sont ainsi que de petits caliméros, qui ne savent que crier au loup face aux conséquences de leurs propres actes, en accusant de ces conséquences précisément ceux dont les propositions auraient permis au mieux d'y rémédier.

En effet, le problème avec cette affaire est qu'ils refusent de comprendre quelles sont les causes réelles et inéluctables qui déterminent la répartition du revenu entre capital et travail. Ils ne veulent même pas comprendre que de telles causes réelles existent, ils préfèrent rester dans la lune de leurs excitations paranoïaques et de leurs fantasmes littéraires à coup de verbiages telles que leur hantise de la "financiarisation de l'économie" par les fonds de pension (tel un mouillage de la mer d'Aral), suivant laquelle les revenus du capital seraient une seule affaire d'arbitraire machiavélique de quelques méchants décideurs, alors qu'en réalité ils relèvent d'une cause concrète qui tient aux grands équilibres macroéconomiques, et qui est aussi inéluctable que la loi de la gravitation universelle: le prix d'emprunt des capitaux relève en définitive de la loi de l'offre et de la demande, et s'ils sont chers, c'est ni plus ni moins parce qu'ils sont rares. Si on voulait diminuer le taux d'intérêt à l'emprunt des capitaux, cela en augmenterait la demande, mais où donc serait l'offre ? En réalité le seul moyen d'en diminuer le prix, serait d'en rendre l'offre plus abondante.
Or, les politiques dites "sociales" se sont toujours acharnées, par tous les moyens, à raréfier les offres de capitaux sur le marché mondial. Ces moyens en sont particulièrement: les dépenses publiques galopantes menant à l'endettement des Etats; et le système de retraite par répartition qui prive le marché des capitaux de l'offre qu'auraient dû représenter les fonds de pension.

Cette manière de vouloir arrêter les conséquences inéluctables d'un état de fait qu'ils n'ont de cesse d'entretenir, est aussi insensé que de prétendre qu'on pourrait s'envoler en se jetant dans le vide et en étendant les bras par l'autosuggestion que la pesanteur n'existe pas, ou qu'on pourrait enrichir un pays simplement en faisant tourner la planche à billets, ou qu'on pourrait mener une politique de rafraichissement du climat, de réenneignement des Alpes ou d'arrivée de la pluie tout en continuant les émissions de gaz à effet de serre, dans l'ignorance du fait que le manque de neige ou la sécheresse sont des conséquences inéluctables des émissions de ces gaz. Ou, comme prétendaient les Verts dans leur programme des présidentielles de 2002, qu'on pourrait réduire les émissions de gaz à effet de serre en remplaçant le nucléaire par des centrales à gaz.

En effet, le seul moyen de relever économiquement un pays et de créer de l'emploi c'est d'investir. Pour investir il faut trouver des capitaux financiers. Le marché des capitaux financiers étant un marché mondial, on ne peut attirer les capitaux nécessaires aux investissement et donc au développement économique et à l'emploi, qu'à condition de les rémunérer au prix du marché mondial de capitaux. Pour les rémunérer il faut y mettre l'argent, un argent qui reviendra réellement à ceux qui auront ainsi apporté leurs capitaux, et qui n'ira donc pas au revenu du travail. C'est mathématique, il n'y a à cela aucune échappatoire possible. Et ceux qui croient qu'il peut en devenir autrement à coup de règlementations et de redistributions, ne font que chercher la quadrature du cercle et faire des noeuds sclérosants et destructeurs aux rouages du système productif. Ils ne font que détruire l'économie, la croissance et l'emploi, sans aucun effet bénéfique pour les travailleurs.

En réalité donc, le seul moyen effectif de favoriser l'emploi et d'accroître les revenus du travail, dans l'absolu en général et en comparaison de ceux du capital en particulier, c'est bien précisément d'appliquer les politiques libérales, des politiques dites "de droite" même si ça fait très longtemps que la droite au pouvoir en France n'a plus mené ce qu'on appelait normalement une politique de politique : d'une part de défiscaliser les revenus des capitaux pour les attirer dans le pays, d'autre part (pour que cette hausse du revenu national du travail ne se fasse pas aux dépens des revenus du travail du reste du monde dont on aurait piqué les capitaux) de faire une politique libérale dite de "rigueur" ou d'"austérité", consistant en coupes drastiques dans les dépenses publiques pour désendetter l'Etat, et en passant à un système de retraites par capitalisation. En effet, si la politique "relance" (sic) issue des idées incohérentes de Keynes, avait marché dans les années 1930, c'est uniquement à cause du contexte très spécifique de cette période: ce contexte, strict domaine de validité des idées de "relance" par la consommation, était celui de la crise monétaire déflationniste, où cette solution a pu servir comme remède de cheval temporaire pour juguler ce déséquilibre alors qu'on ne disposait pas de meilleur outil de régulation monétaire pour parvenir au retour à la stabilité.

Vous allez demander : oui mais qui paiera les retraites auxquelles on droit les retraités et actifs actuels ayant payé leurs cotisations retraites, si les futurs actifs ne cotisent que pour leur propre compte ? Mais, eh bien de quel droit justement prétendent-ils avoir ce droit ? Cette génération insensée s'est décrétée le droit de recevoir une pension retraite de la part de la génération suivante, c'est-à-dire de leurs propres enfants. Mais suivant quelle légitimité prétendent-ils exiger tout cet argent de leurs enfants ? Suivant la prétendue légitimité suivant laquelle le fait d'avoir fait des cadeaux à leurs parents dont ils allaient de toute manière hériter, leur donnerait le droit de se faire payer leurs retraites par leurs enfants ? C'est si facile de faire des cadeaux aux uns avec l'argent des autres, de ceux à qui on ne pense pas. Après nous le déluge, telle est sans doute leur devise ! Certes on peut à cela répondre par le point suivant: la génération précédente arrivant à la retraite, n'a pas cotisé seulement pour la retraite de la génération précédente, mais aussi pour l'éducation de la génération suivante. Ceci serait défendable, seulement si cet argent dépensé dans l'éducation, l'avait été utilement et non pas gaspillé histoire de le jeter par les fenêtes pour se donner bonne conscience aux dépens des malheureux élèves ainsi privés de leur vie et de leur liberté, assujettis à l'esclavage de l'absurde, dont on gaspille une grande partie de la jeunesse au nom de la conquête de diplômes bien souvent sans valeur réelle (encore un "travail" de rituel d'adoration de la déesse bureaucratie; voir argumentaires sur l'éducation et autres sites sur le sujet).

Et ainsi, cette chèreté des capitaux et ce dépérissement des revenus du travail, c'est cette génération socialiste qui arrive maintenant à la retraite qui l'a toujours soutenue. Cette politique de la courte vue, qui fait que les avantages et bénéfices futurs sont considérés de moindre importance en comparaison des avantages et bénéfices immédiats, c'est cette génération socialiste qui l'a voulue. C'est elle qui a préféré consommer maintenant un argent plutôt que de le conserver pour en avoir une valeur qui doublera tous les 10 ans ou quelque chose de ce genre. Qui a préféré faire des dépenses publiques aujourd'hui tout en devant savoir (mais en fermant machiavéliquement les yeux sur le fait) qu'elles constituent un coût plus considérable encore que leur valeur actuelle, qui incombera aux générations futures. De faire du court terme en voyant une somme de consommation d'aujourd'hui comme préférable à une somme plus élevée de consommation de demain. Mais sur qui cette génération montante de papy-boomers comptait-elle pour payer la facture de ses folies ? Sur ses propres enfants ? Mais au nom de quoi ces enfants devraient-ils accepter de payer les folies de leurs parents ? Au nom du fait que leurs parents ont fait autrefois des manifestations pour obtenir des "acquis sociaux" inscrits dans la loi, qui obligeront leurs enfants à payer toutes ces folies ? Sinon, de qui espéraient-ils que viendrait le paiement de leurs retraites ? Espéraient-ils que ce paiement pleuvrait du ciel, au nom du fait qu'ils ont suffisamment chanté les mantras de leurs "acquis sociaux" pour avoir droit que le ciel leur fasse pleuvoir la valeur de ces droits qu'ils ont si bien travaillé à inscrire dans la loi ?

Qu'on le veuille ou non, un jour le réveil brutal viendra : tous ces utopistes de l'Etat-Providence découvriront alors que toutes ces paperasses, ces statuts, règlements bureaucratiques, leurs droits de piller les autres et de piller leurs enfants, et autres "acquis sociaux" de leur imagination, desquels ils ont bâti leur vie en ruinant leur pays et les travailleurs du monde, ne se mangent pas.

Et la surpopulation ?

Si à force de prospérité, la population humaine augmente jusqu'à mettre à bout les ressources de la planètes, comment la limite s'exprimera-t-elle en termes de paramètres macroéconomiques ? Plaçons-nous en imagination dans le cadre d'un 22ème ou 23ème sciècle où l'ensemble des régions du monde auraient fait leur démarrage économique et technologique, où le marché du travail serait mondialisé et donc à peu près égalisé partout, et où les technologies seraient telles qu'on pourrait vivre confortablement presque sans travailler si seulement la population humaine était bien plus réduite. Or, une vie confortable signifie une reproduction confortable, jusqu'à que ça bute sur un mur, et donc que la situation macroéconomique n'ait plus rien à voir avec celle d'une population faible. Les modifications de paramètres doivent forcément devenir très importantes. La surpopulation se traduit par l'impossibilité de survivre pour un grand nombre de gens, ce qui traditionnellement peut prendre la forme d'épidémies, de guerres et de famines. Il serait éventuellement possible, par des progrès scientifiqus et politiques, d'éradiquer les épidémies et les guerres. Il resterait les famines, ce qui sera notre hypothèse ici. Posons donc la définition suivante: on appellera surpopulation une situation macroéconomique caractérisée par la famine d'une fraction significative de la population mondiale. Voici une tentative d'approche de cette situation.
Première remarque: il n'est pas sûr que l'hypothèse "les technologies seraient telles qu'on pourrait vivre confortablement presque sans travailler si seulement la population humaine était bien plus réduite" puisse se traduire par un effet clair et précis en passant au cas d'une surpopulation, pour la raison suivante: il se pourrait que la rareté de l'énergie entraîne en elle-même une nécessité de travailler plus pour un même résultat. Par exemple la nécessité de travailler les terres en partie à la main pour tirer le maximum de fruits d'une surface donnée, ou des choses comme laver la vaisselle à la main pour éviter la consommation d'énergie du lave-vaisselle. On pourrait ainsi imaginer un contrat entre un propriétaire de terre et des paysans, de la forme "vous travaillez la terre à la main et vous récupérez 20% des fruits en échange" intéressant pour le propriétaire car un travail à la machine lui ferait perdre les 20% en question. Ainsi la un produit agricole acquérerait une part de travail au-delà de la rente du terrain, si on néglige le travail à la machine.
Ne tenant pas compte de ces éventualités pour simplifier (imaginant que tout travail agricole puisse s'automatiser tôt ou tard), continuons l'analyse.
Donc, une faction significative de la population meurt de faim alors que si la population était plus faible elle pourrait vivre confortablement en travaillant peu. Donc ces gens doivent beaucoup travailler pour une consommation allant essentiellement en achat de nourriture (et de quelque ressources énergétiques) dont le prix est élevé précisément à cause de la valeur locative des terrains dont ils sont issus. Donc cela va essentiellement en revenu du capital foncier.
Il s'agit ici de la fraction de la population la plus pauvre; pour significative qu'elle soit pour le chiffre de la population, elle peut être davantage négligeable en tant que poids économique. Tout dépend des inégalités entre différents revenus du travail. Car si le marché du travail s'uniformise géographiquement, il reste inégalitaire génétiquement. Donc il y a par ailleurs d'autres travailleurs pouvant gagner plus et avoir ainsi une autre structure de consommation, où la consommation énergétique (allant en rente foncière) est moins dominante, et la part de services ou autres productions issues du travail, plus importante. Cela ne change pas grand-chose de toute façon au final, puisque plus la consommation des travailleurs va en rentes foncières, plus cela fait, à côté de cela, des rentes dont les bénéficiaires, riches, ont une consommation de riches dont la part de services et produits travaillés est grande. Donc, en très gros, on peut conclure qu'environ la moitié du revenu total va en rentes foncières, le quart en revenu des capitaux productifs et le quart en revenu du travail. Les anticapitalistes crieront encore au loup. Or ce qu'il faudrait comprendre, c'est que le responsable de cette misère et injustice n'est ni le libéralisme, ni les riches, mais la surpopulation. Les généreux bien-pensant se feront une gloire de venir au secours des miséreux, et les gouvernements et autres hommes d'affaires de les aider, mais en réalité ce n'est pas là de la bonté, mais de la lâcheté, car des morts en moins aujourd'hui signifie plus de surpopulation et donc plus de misère demain.

Il faudra par ailleurs mobiliser des armées pour protéger les réserves naturelles contre les exploitations sauvages.
Le mieux pour éviter les misères serait donc vraiment de lutter contre la surpopulation. A cela, un seul remède relativement acceptable me vient à l'idée; s'il ne vous plaît pas, essayer toujours d'en proposer un autre (je n'en vois pas), mais je vous en prie, soyez logique et n'exigez pas des droits inaliénables qui auraient pour conséquence logique inéluctable un accroissement exponentiel illimité de la population humaine, car un tel accroissement finira forcément par buter sur une limite ! Voici donc ma proposition: la charité sous condition de stérilisation. De la charité sans stérilisation ce n'est pas de la charité mais de l'irresponsabilité, coupable d'infliger la misère aux générations futures. Je ne pense pas que ce soit une si grande horreur que de proposer la stérisation en échange d'allocations sociales. Les bénficiaires pourront en effet, en échange, toujours travailler comme baby-sitters ou des choses comme ça.

Une grosse erreur tentante que bien des gens commettront, serait de critiquer le partage inéquitable des ressources, et d'espérer un partage plus égal en sorte que tous aient accès à la nourriture du moment qu'il semble n'y avoir pas de surpopulation si on regarde les chiffres de la production agricole totale du monde, en comparaison du total des bouches à nourrir. Mais qu'on le veuille ou non, les lois de la physique et de l'économie sont là: tant qu'on offre aux gens les garanties de survie et de reproduction, beaucoup se reproduiront et entraîneront bientôt une surpopulation plus grave, et le problème se posera à nouveau plus gravement par la suite. Bien que "physiquement pensable", un tel partage ne peut hélas en aucun cas être tenable du point de vue des lois inéluctables de l'économie. Les raisons en sont les suivantes.
D'abord, le fait de faire plus d'enfants est réellement une nuisance envers le reste du monde, puisque cela aggrave la surpopulation. Il n'y a donc aucune justification a priori qu'un groupe de personnes accaparent plus de ressources au prétexte qu'ils font plus d'enfants.
Puis, il ne serait pas décent de demander à chacun de ne consommer que son minimum vital, parce que dans un monde prospère chacun aura naturellement envie de dépenser plus; et les inégalités naturelles de revenu du travail dues aux inégalités de compétences et de choix de vie, mèneront déjà forcément à une inégalité des dépenses énergétiques. A moins qu'on veuille que tout le monde reste misérable, mais une telle perspective serait indécente. Puis, donc, avec un partage inéquitable du revenu comme décrit ci-dessus, les riches auront tendance à consommer la plus grande part des ressources agricoles sous forme de viandes et d'agrocarburants (seule ressource de carburant renouvelable, non dangereuse pour le climat ! à moins bien sûr que les véhicules roulent à l'électricité solaire, mais alors les champs de panneaux solaires remplaceront les cultures). Donc, la consommation effective des ressources sera forcément nettement plus grande que le minimum vital pour une population donnée. Il faudra bien se résoudre à forcer une baisse de la population à un niveau significativement au-dessous de la limite absolue de "surpopulation physique" (celle "si les richesses étaient rationnellement et équitablement réparties entre les humains présents") .


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